Le Bonjour du 28 février: entrer en carême

Le gouvernement de la Région de Bruxelles-Capitale s’est aligné sur les normes législatives du gouvernement fédéral. La norme régionale des 200 personnes maximum à l’église est supprimée.

L’obligation du port du masque reste en vigueur à Bruxelles comme dans toutes les Régions du pays, y compris pour les enfants de plus 6 ans, comme le lavement des mains. La collecte se faite toujours à la sortie de la célébration.

Mercredi des Cendres en code orange à st Jean Berchmans

Le mercredi des Cendres est célébrée l’entrée en Carême et le début de la Montée vers Pâques. Cette année, le mercredi des Cendres a lieu le 2 mars 2022. En communion avec nos frères et sœurs d’Ukraine.

Même s’il y a quelques conditions spéciales liées au code orange du baromètre Covid, l’Église célèbre le mercredi des Cendres, dans le respect des règles sanitaires en vigueur.  

Rite adapté 

En temps ordinaire, lors de la célébration des Cendres, pendant une eucharistie ou pendant une liturgie de la Parole, le prêtre trace un signe de croix sur le front des chrétiens qui se présentent. La petite croix tracée est un rappel de leur vocation : suivre le Christ et vivre de l’Évangile. 

« Convertissez-vous, et croyez à l’Evangile », « Souviens-toi que tu es poussière, et que tu retourneras en poussière », sont les paroles que le prêtre ou le diacre pourront dire. 

En raison des règles sanitaires, le prêtre ne peut toucher le front des croyants, et il déposera dès lors un peu de cendres sur la tête des chrétiens, dans un rite adapté. 

Les cendres sont fabriquées à partir des rameaux bénits l’an dernier et qui ont été brulés, en vue du Mercredi des Cendres de cette année. 

Les cendres sont un symbole biblique de la fragilité et de mortalité de la condition humaine. Elles sont aussi le signe d’un appel à la conversion et de vie nouvelle.  Dans le temps, les terres agricoles et les anciennes vignes brûlées rendaient la terre à nouveau fertile. 

Horaires du jour : 7h, 7h45, 11h30 et 18h30.

Après la messe de 18h30, partage du Bol de riz. Merci de vous inscrire pour prévoir environ le nombre de personnes participant à ce moment de solidarité. Cfr. Le site Kelmesse.org pour la réservation. Choisissez Archevêché Malines Bruxelles et puis Eglise st Jean Berchmans.

La messe comme telle est sans réservation.

2 mars 2022 – Mercredi des Cendres (Mt 6,1-6 et 16-18) – Entrée en Carême : demandez les signets pour adultes et enfants !

« Revenez à moi ! »

C’est le moment favorable.

Laissons-nous réconcilier. Il est prêt à nous secourir.

Il est tendre et miséricordieux. Lent à la colère et plein d’amour.

40 jours pour découvrir Dieu à nouveau.

A travers la prière et le jeûne.

En recevant humblement les cendres,

Signe de notre pénitence et de notre conversion.

Ouvrant nos cœurs au partage et à la solidarité.

Quelques étapes : L’entendre, l’écouter.

Que me dit-il, à moi ?

Accepterai-je d’ouvrir mon cœur ?

Là j’oserai. Là je changerai. La prière coulera de soi.

Le partage deviendra évident. En lui faisant de la place

Par le jeûne qui est accueil et ouverture.

Ma montée et notre montée vers Pâques

Seront purification et illumination.(T. Scholtes sj)

✝️⛪ Bienvenue à la MESSE DES Cendres pour les FAMILLES !

🕟 Le dimanche 6 mars à 16h30 à l’église Saint-Jean Berchmans (Collège Saint-Michel, Etterbeek).

✨ Ensemble, enfants, ados, parents et grands-parents, entrons en Carême :

✅ Imposition des Cendres, gestes de Carême…

✅ Lectures du dimanche

✅ Pas d’inscription !

🎤🎹 Tu aimes chanter, tu joues d’un instrument ? Tu es motivé(e) pour une lecture ?

👉 Contacte :  Louis Lorieux sj : louis.lorieux@jesuites.com ou Caroline : 0476 500 386

A la joie de commencer ensemble le chemin vers Pâques !💒🙏👨‍👩‍👧‍👦

  • Durant le carême, la messe du soir 18h30 sera suivie d’un office de vêpres à la chapelle ND des Apôtres (20 minutes)
  • Samedi 5 mars :  de 9h15 à 11h30 Matinée de prière OASIS, entrer dans la prière, dans la communion solidaire avec nos frères et sœurs en humanité. « Entrer en carême, c’est quoi en 2022 ? », accompagnement T. Scholtes sj
  • Samedi 12 mars : 500° anniversaire de la canonisation de st Ignace de Loyola et st François Xavier. Messe à 18h qui sera suivie d’une conférence du P. Bernard Joassart, « « Les Bollandistes parlent des saints jésuites… » 

Message du pape François pour le Carême 2022

Chers frères et sœurs,

Le Carême est un temps propice de renouveau personnel et communautaire qui nous conduit à la Pâques de Jésus-Christ mort et ressuscité. Pendant le chemin de Carême 2022 il nous sera bon de réfléchir à l’exhortation de saint Paul aux Galates : « Ne nous lassons pas de faire le bien, car, le moment venu, nous récolterons, si nous ne perdons pas courage. Ainsi donc, lorsque nous en avons l’occasion (chairós), travaillons au bien de tous » (Gal 6, 9-10a).

  1. Semailles et récolte

Dans ce passage, l’Apôtre évoque l’image des semailles et de la récolte, si chère à Jésus (cf. Mt 13). Saint Paul nous parle d’un chairos : un temps propice pour semer le bien en vue d’une récolte. Quelle est cette période favorable pour nous ? Le Carême l’est, certes, mais toute l’existence terrestre l’est aussi, et le Carême en est de quelque manière une image[1]. Dans notre vie la cupidité et l’orgueil, le désir de posséder, d’accumuler et de consommer prévalent trop souvent, comme le montre l’homme insensé dans la parabole évangélique, lui qui considérait sa vie sûre et heureuse grâce à la grande récolte amassée dans ses greniers (cf. Lc 12 ,16-21). Le Carême nous invite à la conversion, au changement de mentalité, pour que la vie ait sa vérité et sa beauté non pas tant dans la possession que dans le don, non pas tant dans l’accumulation que dans la semence du bien et dans le partage.

Le premier agriculteur est Dieu lui-même, qui généreusement « continue de répandre des semences de bien dans l’humanité » (Enc. Fratelli tutti, n. 54). Pendant le Carême, nous sommes appelés à répondre au don de Dieu en accueillant sa Parole « vivante et énergique » (He 4,12). L’écoute assidue de la Parole de Dieu fait mûrir une docilité prête à son action (cf. Jc 1,21) qui rend notre vie féconde. Si cela nous réjouit déjà, plus grand encore est cependant l’appel à être « des collaborateurs de Dieu » (1 Co 3, 9), en tirant parti du temps présent (cf. Ep 5, 16) pour semer nous aussi en faisant du bien. Cet appel à semer le bien ne doit pas être considéré comme un fardeau, mais comme une grâce par laquelle le Créateur nous veut activement unis à sa féconde magnanimité.

TIRER PARTI DU TEMPS PRÉSENT POUR SEMER NOUS AUSSI EN FAISANT DU BIEN

Et la récolte ? Ne sème-t-on pas en vue de la récolte ? Bien sûr. Le lien étroit entre les semailles et la récolte est réaffirmé par saint Paul lui-même, qui affirme : « À semer trop peu, on récolte trop peu ; à semer largement, on récolte largement » (2Co 9, 6). Mais de quelle moisson s’agit-il ? Un premier fruit du bien semé se retrouve en nous-mêmes et dans nos relations quotidiennes, jusque dans les plus petits gestes de bonté. En Dieu, aucun acte d’amour, si petit soit-il, et aucune “fatigue généreuse” ne sont perdus (cf. Exhort. apost. Evangelii gaudium, n. 279). De même que l’arbre se reconnaît à ses fruits (cf. Mt 7,16-20), de même la vie remplie de bonnes œuvres est lumineuse (cf. Mt 5, 14-16) et apporte au monde le parfum du Christ (cf. 2 Co 2,15). Servir Dieu, sans péché, fait récolter des fruits de sainteté pour le salut de tous (cf. Rm 6, 22).

EN DIEU, AUCUN ACTE D’AMOUR, SI PETIT SOIT-IL, ET AUCUNE “FATIGUE GÉNÉREUSE” NE SONT PERDUS

En réalité, il ne nous est permis de voir qu’une petite partie du fruit de ce que nous semons puisque, selon le proverbe évangélique, « l’un sème, l’autre moissonne » (Jn 4, 37). C’est précisément en semant pour le bien d’autrui que nous participons à la magnanimité de Dieu : « il y a une grande noblesse dans le fait d’être capable d’initier des processus dont les fruits seront recueillis par d’autres, en mettant son espérance dans les forces secrètes du bien qui est semé » (Enc. Fratelli tutti, n. 196). Semer le bien pour les autres nous libère de la logique étroite du gain personnel et confère à nos actions le large souffle de la gratuité, en nous insérant dans l’horizon merveilleux des desseins bienveillants de Dieu.

« IL Y A UNE GRANDE NOBLESSE DANS LE FAIT D’ÊTRE CAPABLE D’INITIER DES PROCESSUS DONT LES FRUITS SERONT RECUEILLIS PAR D’AUTRES, EN METTANT SON ESPÉRANCE DANS LES FORCES SECRÈTES DU BIEN QUI EST SEMÉ » (FRATELLI TUTTI)

La Parole de Dieu élargit et élève notre regard encore plus, elle nous annonce que la véritable moisson est la moisson eschatologique, celle du dernier jour, du jour sans coucher du soleil. Le fruit accompli de notre vie et de nos actions est le « fruit pour la vie éternelle » (Jn 4, 36) qui sera notre « trésor dans les cieux » (Lc 12, 33 ; 18, 22). Jésus lui-même utilise l’image du grain qui meurt en terre et porte du fruit pour exprimer le mystère de sa mort et de sa résurrection (cf. Jn 12, 24) ;et Saint Paul la reprend pour parler de la résurrection de notre corps : « Ce qui est semé périssable ressuscite impérissable ; ce qui est semé sans honneur ressuscite dans la gloire ; ce qui est semé faible ressuscite dans la puissance ; ce qui est semé corps physique ressuscite corps spirituel » (1 Co 15, 42-44). Cet espoir est la grande lumière que le Christ ressuscité apporte dans le monde :« Si nous avons mis notre espoir dans le Christ pour cette vie seulement, nous sommes les plus à plaindre de tous les hommes. Mais non ! Le Christ est ressuscité d’entre les morts, lui, premier ressuscité parmi ceux qui se sont endormis» (1 Co 15, 19-20), de sorte que ceux qui sont intimement unis à lui dans l’amour, « par une mort qui ressemble à la sienne » (Rm 6, 5), soient aussi unis dans sa résurrection pour la vie éternelle(cf. Jn 5, 29) : « Alors les justes resplendiront comme le soleil dans le royaume de leur Père » (Mt 13, 43).

2. « Ne nous lassons pas de faire le bien »

La résurrection du Christ anime les espoirs sur terre de la « grande espérance » de la vie éternelle et introduit déjà le germe du salut dans le temps présent (cf. Benoît XVI, Enc. Spe salvi, nn. 3. 7). Face à l’amère déception de tant de rêves brisés, face à l’inquiétude devant les défis qui nous attendent, face au découragement dû à la pauvreté de nos moyens, la tentation est de se replier sur son propre égoïsme individualiste et de se réfugier dans l’indifférence aux souffrances des autres. En effet, même les meilleures ressources sont limitées : « Les garçons se fatiguent, se lassent, et les jeunes gens ne cessent de trébucher » (Is 40, 30), mais Dieu « rend des forces à l’homme fatigué, il augmente la vigueur de celui qui est faible. […] Ceux qui mettent leur espérance dans le Seigneur trouvent des forces nouvelles ; ils déploient comme des ailes d’aigles, ils courent sans se lasser, ils marchent sans se fatiguer » (Is 40, 29.31). Le Carême nous appelle à placer notre foi et notre espérance dans le Seigneur (cf. 1 P 1, 21), car c’est seulement avec le regard fixé sur Jésus-Christ ressuscité (cf. He 12, 2) que nous pouvons accueillir l’exhortation de l’Apôtre : « Ne nous lassons pas de faire le bien » (Ga 6, 9).

Ne nous lassons pas de prier. Jésus a enseigné qu’il faut « toujours prier sans se décourager » ( Lc 18, 1). Nous devons prier parce que nous avons besoin de Dieu. Suffire à soi-même est une illusion dangereuse. Si la pandémie nous a fait toucher du doigt notre fragilité personnelle et sociale, que ce Carême nous permette d’expérimenter le réconfort de la foi en Dieu sans laquelle nous ne pouvons pas tenir (cf. Is 7, 9). Personne ne se sauve tout seul, car nous sommes tous dans la même barque dans les tempêtes de l’histoire[2]. Mais surtout personne n’est sauvé sans Dieu, car seul le mystère pascal de Jésus-Christ donne la victoire sur les eaux sombres de la mort. La foi ne nous dispense pas des tribulations de la vie, mais elle permet de les traverser unis à Dieu dans le Christ, avec la grande espérance qui ne déçoit pas et dont le gage est l’amour que Dieu a répandu dans nos cœurs par l’Esprit Saint (cf. Rm 5, 1-5).

NOUS DEVONS PRIER PARCE QUE NOUS AVONS BESOIN DE DIEU. SUFFIRE À SOI-MÊME EST UNE ILLUSION DANGEREUSE.

Ne nous lassons pas d’éliminer le mal de notre vie. Que le jeûne corporel auquel nous appelle le Carême fortifie notre esprit pour lutter contre le péché. Ne nous lassons pas de demander pardon dans le sacrement de la pénitence et de la réconciliation, sachant que Dieu ne se fatigue pas de nous pardonner[3]Ne nous lassons pas de lutter contre la concupiscence, cette fragilité qui nous pousse à l’égoïsme et à tout mal, trouvant au fil des siècles diverses voies permettant de plonger l’homme dans le péché (cf. Enc. Fratelli tutti, n. 166). L’une de ces voies est le risque d’addiction aux médias numériques, qui appauvrit les relations humaines. Le Carême est un temps propice pour contrer ces écueils et cultiver plutôt une communication humaine plus intégrale (cf. ibid., n. 43), faite de « vraies rencontres » ( ibid., n. 50), face à face.

Ne nous lassons pas de faire le bien dans la charité concrète envers notre prochain. Au cours de ce Carême, pratiquons l’aumône avec joie (cf. 2 Co 9, 7). Dieu « fournit la semence au semeur et le pain pour la nourriture » (2 Co 9, 10) pourvoit à chacun d’entre nous, non seulement pour que nous puissions avoir à manger, mais aussi pour que nous puissions faire preuve de générosité en faisant du bien aux autres. S’il est vrai que toute notre vie est un temps pour semer le bien, profitons particulièrement de ce Carême pour prendre soin de nos proches, pour nous rendre proches de ces frères et sœurs blessés sur le chemin de la vie (cf. Lc 10, 25-37).Le Carême est un temps propice pour rechercher, et non éviter, ceux qui sont dans le besoin ; appeler, et non ignorer, ceux qui désirent l’écoute et une bonne parole ; visiter, et non abandonner, ceux qui souffrent de la solitude. Mettons en pratique l’appel à faire du bien envers tous en prenant le temps d’aimer les plus petits et les sans défense, les abandonnés et les méprisés, celui qui est victime de discrimination et de marginalisation (cf. Enc. Fratelli tutti, n. 193).

  • « Nous récolterons si nous ne perdons pas courage »

Le Carême nous rappelle chaque année que « le bien, comme l’amour également, la justice et la solidarité ne s’obtiennent pas une fois pour toutes ; il faut les conquérir chaque jour » (ibid., n. 11). Demandons donc à Dieu la patiente constance du cultivateur (cf. Jc 5, 7) pour ne pas renoncer à faire le bien, pas à pas. Que celui qui tombe tende la main au Père qui relève toujours. Que celui qui s’est perdu, trompé par les séductions du malin, ne tarde pas à retourner à lui qui « est riche en pardon » (Is 55, 7). En ce temps de conversion, trouvant appui dans la grâce de Dieu et dans la communion de l’Église, ne nous lassons pas de semer le bien. Le jeûne prépare le terrain, la prière l’irrigue, la charité le féconde. Nous avons la certitude dans la foi que « nous récolterons si nous ne perdons pas courage » et que, avec le don de la persévérance, nous obtiendrons les biens promis (cf. He 10, 36) pour notre propre salut et celui des autres (cf. 1 Tim 4, 16). Pratiquant l’amour fraternel envers tous, nous sommes unis au Christ, qui a donné sa vie pour nous (cf. 2 Co 5, 14-15) et nous goûtons d’avance la joie du Royaume des Cieux, quand Dieu sera « tout en tous » (1 Co 15, 28).

NE NOUS LASSONS PAS DE SEMER LE BIEN. LE JEÛNE PRÉPARE LE TERRAIN, LA PRIÈRE L’IRRIGUE, LA CHARITÉ LE FÉCONDE

Que la Vierge Marie, du sein de laquelle a germé le Sauveur, et qui gardait toutes les choses « et les méditait dans son cœur » (Lc 2, 19), nous obtienne le don de la patience et nous soit proche par sa présence maternelle, afin que ce temps de conversion porte des fruits de salut éternel.

Donné à Rome, près de Saint Jean de Latran, le 11 novembre 2021, Mémoire de Saint Martin, Evêque.

FRANÇOIS


[1]Cf. Saint Augustin , Serm. 243, 9,8 ; 270, 3 ; Fr. dans Ps. 110, 1.

[2]Cf. Moment extraordinaire de prière en temps d’épidémie (27 mars 2020).

[3]Cf. Angélus du 17 mars 2013. source : vatican.va

Comme cela a été annoncé aux messes dominicales, nous vous invitons à participer ensemble au Congrès Mission qui se déroulera du 18 au 20 mars à la basilique de Koekelberg à Bruxelles. Il est possible de participer à tout ou à une partie du week-end.

  • Programme détaillé : https://www.congresmission.be/   Allez découvrir la variété des propositions, tables rondes, les ateliers, veillées ; Eucharistie, village de stands, …
  • Le Père Tommy Scholtès, Martin Rondelet sj, Louis Tonneau, Caroline Jeunechamps, Marie Rottier, le Forum St Michel et les jésuites seront présents et prendront la parole
  • Pour découvrir sur les ondes :

Un congrès pour se retrouver : https://rcf.fr/actualite/au-fil-de-la-vie?episode=207471

Des tables rondes pour débattre : https://rcf.fr/actualite/au-fil-de-la-vie?episode=207470

Des veillées variées, priantes et joyeuses : https://rcf.fr/actualite/au-fil-de-la-vie?episode=210189

  • Contact : Vbontemps@skynet.be ; 0478/66 80 50
  • Vous souhaitez faire un don pour l’organisation du Congrès ? Versez-le sur le compte : IBAN : BE32 7330 5839 1202 // BIC : KRED BE BB – Communication : « Don Congrès Mission ». Adresse postale : Centre Interdiocésain – Interdiocésain Centrum GUIMARDSTRAAT 1 1040 BRUSSEL. Merci de votre générosité !