Le Bonjour du Mercredi des Cendres

Amis de l’église St-Jean Berchmans ° st-Michel

Le Bonjour du 22.02.2023

10 conseils du pape François pour vivre le carême 2023

1. Se laisser toucher le cœur

« Revenez à moi de tout votre cœur », dit le prophète Joël (2, 12). Dans la vie, « nous aurons toujours des choses à faire », nous aurons toujours « des excuses à présenter », mais « aujourd’hui c’est le temps de revenir à Dieu », insiste François.

Cela signifie s’engager sur le « chemin d’une conversion non pas superficielle et transitoire », mais un « itinéraire spirituel » qui touche « le lieu le plus intime » de notre personne. En effet, « le cœur est le siège de nos sentiments, le centre dans lequel mûrissent nos choix, nos comportements ».

Le Carême n’est « pas une collecte de bonnes actions », c’est « discerner vers où est orienté notre cœur ». Où mène « le navigateur de ma vie, vers Dieu ou vers mon moi ? (…) Ai-je un cœur “qui danse”, qui fait un pas en avant et un pas en arrière, qui aime un peu le Seigneur et un peu le monde, ou bien un cœur ferme en Dieu ? » Et l’on se découvre soudain un cœur « fermé »« rouillé »« refroidi »« anesthésié »

Et François de scander : « Nous avons besoin de la guérison de Jésus, il nous faut mettre devant lui nos blessures et lui dire : “Jésus, je suis ici devant toi, avec mon péché, avec mes misères. Tu es le médecin, tu peux me libérer. Guéris mon cœur.” »

2. Arrêter de s’agiter

François appelle à « ralentir notre vie qui va toujours au pas de course, mais souvent ne sait pas bien où ». « Arrête-toi un peu, dit-il. Laisse cette agitation et cette course insensée qui remplit le cœur de l’amertume de sentir que l’on n’arrive jamais à rien. »

« Arrête-toi, reprend-il, laisse cette injonction à vivre en accéléré qui disperse, divise et finit par détruire le temps de la famille, le temps de l’amitié, le temps des enfants, le temps des grands-parents, le temps de la gratuité… le temps de Dieu. »

3. Rechercher le silence

« Arrête-toi un peu devant le bruit assourdissant qui atrophie et étourdit nos oreilles et qui nous fait oublier le pouvoir fécond et créateur du silence », intime François.

Le pape dénonce la pollution sonore. « Nous sommes submergés de paroles vides, de publicités, de messages insidieux. Nous nous sommes habitués à entendre de tout sur tous et nous risquons de sombrer dans une mondanité qui atrophie notre cœur et il n’y a pas de pontage pour guérir cela, mais seulement le silence. »

« Il n’est pas facile de faire silence dans son cœur, prévient-il, car nous cherchons toujours à parler un peu, à être avec les autres. » Pourtant, la « vraie conversion » est au prix de ce silence. Grâce à lui, le croyant peut rentrer en lui-même et se « mettre à l’écoute de la Parole de Dieu ».

4. Se détacher du smartphone

Aller au désert, durant le Carême, c’est se « détacher du téléphone portable » pour se « connecter à l’Évangile ». Jeûnerinsiste François, « c’est savoir renoncer aux choses vaines, au superflu, pour aller à l’essentiel ».

C’est renoncer au culte du selfie. « Arrête-toi un peu devant la nécessité d’apparaître et d’être vu par tous, d’être continuellement “à l’affiche”, ce qui fait oublier la valeur de l’intimité et du recueillement. »

Le pape pointe du doigt « la maladie de l’apparence, aujourd’hui dominante ». C’est « unegrande tromperie » parce que l’apparence est « comme une flambée : une fois finie, il reste seulement la cendre ». Faisons un « diagnostic des apparences que nous recherchons », indique-t-il, « essayons de les démasquer. Cela nous fera du bien ».

Se tenir éloigner du téléphone, c’est aussi vouloir mettre le holà « aux paroles inutiles, aux bavardages, aux rumeurs, aux médisances », à la « violence verbale », aux « mots blessants et nocifs, que le réseau amplifie ».

C’est aussi refuser la « critique grossière et rapide » et les « analyses simplistes qui ne réussissent pas à embrasser la complexité des problèmes humains, spécialement les problèmes de tous ceux qui souffrent le plus ». Ce « nettoyage » se révèle nécessaire pour atteindre une « saine écologie du cœur ».

5. Arrêter de regarder les autres de haut

« Arrête-toi un peu devant le regard hautain, le commentaire fugace et méprisant qui naît de l’oubli de la tendresse, de la compassion et du respect dans la rencontre des autres », dit François, notamment à l’égard de ceux qui sont « vulnérables, blessés et même de ceux qui sont empêtrés dans le péché et l’erreur ».

Il s’agit de changer de perspective en regardant « vers le haut », avec la prière qui « libère d’une vie horizontale, plate, où on trouve le temps pour le “je” mais où l’on oublie Dieu ».

Regarder « à l’intérieur », grâce à un jeûne, qui nous « libère de l’attachement aux choses, de la mondanité qui anesthésie le cœur ». Regarder « vers l’autre » avec la « charité qui libère de la vanité de l’avoir, du fait de penser que les choses vont bien si elles me vont bien à moi ».

6. En finir avec l’hypocrisie

Pour le Carême, François demande que nous regardions « à l’intérieur, dans le cœur », sans faux-semblant et avec courage.

« Que de fois, pointe le pape, nous faisons quelque chose pour être approuvés, pour notre image, pour notre ego ! Que de fois nous nous proclamons chrétiens et dans le cœur nous cédons sans problème aux passions qui nous rendent esclaves ! Que de fois nous prêchons une chose et en faisons une autre ! Que de fois nous nous montrons bons au-dehors et nourrissons des rancunes au-dedans ! Que de duplicités nous avons dans le cœur… c’est la poussière qui salit, les cendres qui étouffent le feu de l’amour. »

Si l’on ausculte son cœur avec attention et sincérité, on mesure notre ambivalence. « Lorsque l’on accomplit quelque chose de bon, presque instinctivement naît en nous le désir d’être estimés et admirés pour cette bonne action, pour en retirer une satisfaction. Jésus nous invite à accomplir ces œuvres sans aucune ostentation, et à espérer uniquement la récompense du Père qui voit dans le secret » (Mt 6, 4.6.18).

Le Christ demande d’accomplir des « œuvres de charité, de prier, de jeûner, mais de faire tout cela sans feinte, sans duplicité, sans hypocrisie » (cf. Mt 6, 2.5.16).

7. Ne pas s’habituer au Mal

Le pape dénonce régulièrement « la culture » et « l’abîme » de l’indifférence. Le Carême, rappelle-t-il est le « temps pour dire non à l’asphyxie qui naît des intimismes qui excluent, qui veulent arriver à Dieu en esquivant les plaies du Christ présentes dans les plaies des frères : ces spiritualités qui réduisent la foi à une culture de ghetto et d’exclusion ».

Ces quarante jours aident à « sortir des habitudes lasses et de l’accoutumance paresseuse au mal qui nous menace ». Il s’agit de « ne pas nous habituer aux situations de dégradation et de misère que nous rencontrons en marchant dans les rues de nos villes et de nos pays ».

Le risque est réel d’accepter « passivement certains comportements et de ne pas nous étonner face aux tristes réalités qui nous entourent ». On s’habitue à la violence, « comme s’il s’agissait d’une nouvelle quotidienne qui va de soi ; nous nous habituons à nos frères et sœurs qui dorment dans la rue, qui n’ont pas de toit pour se protéger. Nous nous habituons aux réfugiés à la recherche de liberté et de dignité, qui ne sont pas accueillis comme ils le devraient ».

Nous nous habituons, enfin, à « vivre dans une société qui prétend se passer de Dieu », dans laquelle « les parents n’enseignent plus à leurs enfants à prier » le Notre Père ou le Je vous salue Marie, « ni à faire le signe de la croix ».

8. Demander le don des larmes

« Frères, interpelle François, sachez, que les hypocrites ne savent pas pleurer, ils ont oublié comment on pleure, ils ne demandent pas le don des larmes. » Demander le don des larmes, explique-t-il, est une façon de « rendre notre prière et notre chemin de conversion toujours plus authentiques ».

Et le pape de nous demander : « Est-ce que je pleure ? Le pape pleure-t-il ? Les cardinaux pleurent-ils ? Les évêques pleurent-ils ? Les personnes consacrées pleurent-elles ? Les prêtres pleurent-ils ? Les pleurs sont-ils présents dans nos prières ? »

Accepter de pleurer, c’est revenir à Dieu avec un « cœur nouveau, purifié du mal, purifié par les larmes, pour prendre part à sa joie ». Une joie qui s’enracine dans la certitude que « nous pouvons changer, si nous accueillons la grâce de Dieu et que nous ne laissons pas passer en vain ce moment favorable ». « S’il vous plaît, dit-il, arrêtons-nous, arrêtons-nous un peu et laissons-nous réconcilier avec Dieu ».

9. Prier

Les freins à la prière se manifestent particulièrement pendant le Carême, période de tentation. « Nous avons du mal à distinguer la voix du Seigneur qui nous parle, la voix de la conscience, la voix du bien. Jésus, en nous appelant dans le désert, nous invite à prêter attention à ce qui compte, à l’important, à l’essentiel. »

Car la prière est une nourriture indispensable. « Nous avons besoin de la Parole de Dieu, dit-il. Nous devons parler avec Dieu : nous devons prier. Car ce n’est que devant Dieu que viennent au jour les inclinations du cœur et que disparaissent les duplicités de l’âme. » Il faut se tourner vers l’Esprit Saint en redécouvrant « le feu de la louange, qui brûle les cendres de la lamentation et de la résignation ».

10. Contempler les visages qui nous entourent

François appelle chacun à s’arrêter pour contempler le visage de celles et ceux qui nous entourent :

Visage de nos familles qui continuent à « miser jour après jour, avec beaucoup d’effort, pour aller de l’avant dans la vie » et qui, « entre les contraintes et les difficultés, ne cessent pas de tout tenter pour faire de leur maison une école de l’amour ».

Visages des enfants et des jeunes « porteurs d’un lendemain et d’un potentiel qui exigent dévouement et protection » et qui « se fraient toujours un passage au milieu de nos calculs mesquins et égoïstes ».

Visages des anciens, marqués par « le passage du temps » ; visages « porteurs de la mémoire vivante de nos peuples » et visages de « la sagesse agissante de Dieu ».

Visages des malades et de tous ceux qui s’en occupent ; visages qui, « dans leur vulnérabilité et dans leur service, nous rappellent que la valeur de chaque personne ne peut jamais être réduite à une question de calcul ou d’utilité ».

Visages « contrits de tous ceux qui cherchent à corriger leurs erreurs et leurs fautes » et qui, « dans leurs misères et leurs maux », luttent pour « transformer les situations et aller de l’avant ».

Visage du Christ, « l’Amour crucifié » qui, « aujourd’hui, sur la croix, continue d’être porteur d’espérance »« main tendue à ceux qui se sentent crucifiés, qui font l’expérience dans leur vie du poids leurs échecs, de leurs désenchantements et de leurs déceptions ». (Journal La Croix, 21.02.2023)

  • Mercredi 22 février :

Mercredi des cendres et entrée en carême. Imposition des cendres à toutes les messes, 7h, 7h45, 11h30, 18h30. Après la messe de 18h30, repas bol de riz. S’inscrire par mail svp et sur panneaux dans l’église. (Tommy.scholtes@tommyscholtes.be)

Les samedis de carême, en matinée, Ecole de contemplation ignatienne.

De 9h45 à 11h15 en la chapelle ND des apôtres. Temps de prière animé par les pp. J-Y Grenet, Ph. Wargnies et T. Scholtes.

En semaine, après l’eucharistie de 18h30, prière des vêpres de 19h à 19h15, animée par le p. Ph. Wargnies

Prochains Théobar : dimanche 26 février avec le recteur de l’UCL Vincent Blondel et le dimanche 26 mars avec le parlementaire européen Philippe Lamberts. Rendez-vous à partir de 19h45 au 47 avenue de l’Armée, à deux pas de l’église du Collège Saint Michel.

Cours au Forum st Michel :

Les rencontres de Jésus en saint Jean

Cours par Philippe Wargnies sj :13 mercredis de 18h à 19h30 :  8, 15, 22 et 29 mars, 5, 12, 19 et 26 avril

Un parcours philosophique pour changer de regard

Avec Emmanuel Tourpe : Les 3èmes mardis du mois : 21 février, 21 mars, 18 avril, 16 mai, De 20h à 22h (15 € par conférence ou 60 € pour l’ensemble

La Passion selon saint Matthieu

Séminaire avec Pierre Piret sj et Annalisa Cannoni

La Passion selon saint Matthieu

4 samedis de 9h30 à 12h30 :
4, 11, 18 et 25 mars – Coût : 125 €

Au cours du premier semestre, durant le temps de l’Avent, un séminaire fut consacré aux chapitres 1 à 3 de l’évangile selon saint Matthieu, récits de la naissance et de l’enfance du Christ Jésus.

L’évangile selon saint Matthieu est proclamé, dans la célébration eucharistique dominicale, au long de l’année liturgique actuelle – l’année A.

En continuité avec celui du premier semestre et en correspondance avec le temps liturgique, le séminaire prochain se tourne de nouveau vers le premier évangile. Nous suivrons pas à pas, durant le Carême, le récit de la Passion du Seigneur Jésus, aux chapitres 26 à 27 de l’évangile selon saint Matthieu.

Programme détaillé :

  • 4 mars : Introduction : De l’entrée à Jérusalem (Mt 21, 1-11) aux préparatifs de la Pâque (Mt 26,17). Lecture : Mt 26, 14-25. > Le dessein de livrer Jésus.
  • 11 mars : Lecture : Mt 26, 26-56. > La Cène et Gethsémani.
  • 18 mars : Lecture : Mt 26,57 – 27,26. > Le double procès.
  • 25 mars : Lecture : Mt 27, 27-66. > La mort de Jésus.
    Conclusion du séminaire, mise en commun.

La pédagogie des séminaires est connue. Par la lecture en groupe du texte évangélique et les échanges qu’elle suscite entre nous, par l’un ou l’autre exposé d’introduction ou de conclusion, elle nous guide dans l’accueil de la Révélation divine.

Bien commun et communs

Cycle de conférences au Forum st Michel

De février à mai 2023 de 20h00 à 22h00

Le bien commun n’est-il qu’une idée abstraite, une quête inaccessible à entreprendre individuellement ? Ne serait-elle pas au contraire une force de changement culturel et structurel ? Face aux structures injustes ancrées dans la société, ce cycle de conférences vous propose de découvrir des cadres favorables au vivre ensemble, à la justice sociale et au soin de notre maison commune, en reliant les travaux récents sur les (biens) communs à la notion plus classique du bien commun. Des communs naturels aux initiatives de citoyens pour créer du commun dans leur quartier, en passant par les coopératives, partez à la découverte d’alternatives crédibles pour répondre aux grands enjeux d’aujourd’hui.

Programme :

  • 28 février 2023 : Laura Rizzerio et Bruno Colmant
  • 28 mars 2023 : Elena Lasida et Philippe Lamberts
  • Avril 2023 : Gaël Giraud et Étienne de Callataÿ
  • Mai 2023 : à la découverte d’initiatives concrètes

Plus d’infos : https://www.centreavec.be/animation/bien-commun-communs/

Event FB :  https://fb.me/e/271VZ6eE0

« Que tu sois habituée de la messe ou curieux sur ce qu’elle peut bien t’apporter, sois le et la bienvenue à ce week-end !

Au cours de celui-ci, nous prendrons le temps de découvrir les différentes étapes de la messe, les différentes présences de Dieu au cours de celle-ci, certaines notions pas toujours simples à comprendre comme le « sacrifice », « faire mémoire », etc. et en quoi ces notions peuvent nourrir notre vie quotidienne. Nous verrons aussi en quoi la messe nous transforme et nous rend plus humain, plus divin. 

Le week-end sera ponctué de temps d’enseignement, de temps personnels pour que chacun puisse faire remonter ce qui l’aura le plus marqué, suivi de temps en petit groupe pour échanger. Il y aura aussi bien sûr des temps de détente et de célébrations et prières. Tout ceci dans un cadre de verdure magnifique qu’est le lieu de Quartier Gallet. 

Ce week-end est animé par Perrin Lefebvre et Martin Rondelet, tous deux jésuites. 
Du vendredi 17 soir au dimanche 19 mars 2023 après-midi. À Quartier-Gallet près de Beauraing. Pour les jeunes entre 18 et 30 ans

ATTENTION : les places sont limitées. Ne traine pas à t’inscrire si tu es intéressé. Date limite d’inscription : 13/03. Pour toute question tu peux contacter Martin +32 478 83 01 31 ou magisbruxelles[at]gmail.com
Le coût du week-end (hors transport) est de 25€ pour les étudiants et de 35€ pour les jeunes pros. Le prix ne doit pas être un frein, n’hésite pas à nous en parler. »  Lien pour info et inscription : https://urlz.fr/kDYH

Peut être une image de 7 personnes et texte

Une SEPAC (Semaine de prière accompagnée) est organisée pendant le Carême pour toute l’UP de Etterbeek. Elle sera introduite le dimanche soir 12 mars 2023 (19h30-21h) par une rencontre de présentation, et se conclura le samedi matin 18 mars (10h30-12h30) par une réunion de mise en commun de nos découvertes et de nos nouvelles attentes.


Qu’est-ce qu’une SEPAC ?
•             Chaque retraitant s’engage à prendre chaque jour une demi-heure de prière personnelle à partir de quelques lignes de la Bible, qui lui ont été proposées la veille.

Mais prier est parfois ardu, parce qu’on se retrouve seul, on ne sait pas bien comment s’y prendre, on a l’impression de ne pas entendre ce que le Seigneur aimerait nous dire. C’est pour cela que, cette prière est accompagnée :


•   Chaque jour, chaque priant rencontre aussi individuellement (en distanciel) une personne qui va l’accompagner. Cet entretien dure également une demi-heure. L’heure de ces rencontres se décide de commun accord, selon les possibilités de chacun, chacune. Le vrai maître qui nous invite à prier et va nous guider est bien le Christ lui-même. L’accompagnant est un vis-à-vis présent pour écouter, encourager, et donner quelques repères au priant. Durant ce compagnonnage d’une demi-heure chaque jour, se fait le choix du passage évangélique à prier pour le lendemain. Possible en présentiel et en distanciel.

Cette semaine de prière sera introduite le dimanche soir (19h30-21h) par une rencontre de présentation, et se conclura le samedi matin suivant (10h30-12h30) par une réunion de mise en commun de nos découvertes et de nos nouvelles attentes.

Réservez déjà cette semaine dans vos agendas !!!!

​Coordination : Laurent de Liedekerke ( ldeliedkerke@yahoo.com)